Prévention de la santé mentale : que mettre en place ?

Visages rouge bleu ampoule santé mentale

La santé mentale est un pilier essentiel du bien-être global de chacun, au même titre que la santé physique. Le gouvernement a, le 11 octobre 2024, érigé la santé mentale en tant que « Grande cause nationale pour l’année 2025 ». En effet, faire de la prévention en santé mentale vise non seulement à réduire les risques de développement de troubles mentaux, mais également à promouvoir un état de bien-être mental optimal pour tous. Mais comment s’y prendre ?

Qu’est-ce que la santé mentale ?

La santé mentale désigne l’état de bien-être psychologique, émotionnel et social d’une personne.

Selon l’OMS, la santé mentale est un « état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés normales de la vie, de travailler avec succès et de manière productive, et d’être en mesure d’apporter une contribution à la communauté ». 

La santé mentale ne se limite pas à l’absence de troubles mentaux : elle constitue une dimension essentielle de la santé globale. En effet, il est impossible de jouir d’une bonne santé sans une santé mentale équilibrée. Celle-ci est influencée par une multitude de facteurs, qu’ils soient socio-économiques, biologiques ou environnementaux, incluant notamment les conditions de travail, qui jouent un rôle majeur dans son maintien.

Les 3 dimensions de la santé mentale 

La détresse psychologique réactionnelle

La détresse psychologique réactionnelle se manifeste suite à un événement difficile. C’est une réponse émotionnelle temporaire à des situations éprouvantes ou des difficultés existentielles. Cette détresse survient à la suite d’événements marquants ou traumatiques. Parmi ceux-ci, les plus fréquents sont le deuil, un échec relationnel, une rupture, des difficultés scolaires ou encore des bouleversements professionnels.

Les manifestations émotionnelles faisant suite à ce type d’événement, bien que douloureuses, ne traduisent pas systématiquement l’existence d’un trouble mental sous-jacent. Les symptômes associés, anxiété ou état dépressif, reflètent une réponse normale de l’organisme face au stress ou à des événements de vie perturbants. Dans ce contexte, ces symptômes peuvent être transitoires et disparaître naturellement lorsque la personne retrouve un certain équilibre.

Cependant, si cette détresse n’est pas reconnue ou accompagnée de manière appropriée, elle peut conduire à des effets sur le long terme. Parmi ceux-ci on retrouvera ainsi des développements de troubles psychiques plus graves ou des détériorations des relations sociales, familiales et professionnelles. Le délitement des relations peut entraîner un isolement qui alimentera la dynamique négative : il s’agit alors de rompre le cercle vicieux.

Comment faire la distinction ? Lorsqu’elle est légère à modérée et d’origine récente, la détresse psychologique peut être perçue comme une réaction adaptative normale et temporaire. Toutefois, si elle persiste dans le temps ou si son intensité augmente, elle peut devenir un indicateur préoccupant nécessitant une évaluation approfondie et, dans certains cas, une intervention spécialisée.

Pour prévenir les problèmes de santé mentale sur le long terme, la communication est un outil redoutable. L’entourage professionnel fait parti des potentiels soutiens de certaines personnes. Parfois le soutien des proches ne suffit pas ou peu être complété d’une solution professionnelle. Dans cette logique, Eleas propose la mise en place d’une ligne téléphonique de soutien psychologique. Celle-ci permet la mise en relation avec un professionnel, de manière anonyme et permet d’agir pour cette prévention.

Les troubles psychiatriques

Les troubles psychiatriques constituent des affections de nature variable, à la fois par leur durée, leur sévérité et leur impact sur la vie quotidienne. Ces troubles se réfèrent à des classifications diagnostiques bien définies, basées sur des critères cliniques établis (comme ceux du DSM ou de la CIM). Ils nécessitent des stratégies thérapeutiques spécifiques, qui incluent souvent une combinaison de traitements médicamenteux, de psychothérapies et d’interventions psychosociales adaptées aux besoins de chaque patient.

Les conséquences des troubles psychiatriques peuvent être importantes et engendrer des répercussions significatives sur la vie des individus et leur entourage. Les handicaps liés à certaines pathologies, comme la schizophrénie ou les troubles bipolaires sévères, peuvent limiter considérablement l’autonomie et la qualité de vie.

Les troubles psychiatriques augmentent le risque de décès prématuré, notamment en raison des comorbidités physiques (maladies cardiovasculaires, diabète, etc.) ou du risque accru de suicide. En outre, ces affections exposent souvent les individus à des discriminations et à l’exclusion sociale, renforçant ainsi leur isolement et aggravant leurs difficultés psychologiques.

Il est essentiel de souligner que les troubles psychiatriques ne sont pas une fatalité. Avec une prise en charge adaptée, incluant un accompagnement personnalisé et un environnement soutenant, de nombreuses personnes parviennent à retrouver un fonctionnement satisfaisant et une meilleure qualité de vie.

La reconnaissance précoce des symptômes, combinée à des actions de prévention et de sensibilisation, constitue une étape clé dans la lutte contre les stigmatisations et dans l’amélioration de la prise en charge des troubles mentaux.

La santé mentale positive

La santé mentale positive englobe une série de dimensions fondamentales :

  • le bien-être émotionnel,
  • l’épanouissement personnel,
  • les ressources psychologiques internes
  • les capacités d’agir dans les différents rôles sociaux de la vie quotidienne.

Ces composantes de la santé mentale positive sont autant d’outils pour mener une vie épanouie. La santé mentale positive ce n’est pas ‘simplement’ une expérience de bonheur ou de sérénité. La santé mentale positive c’est aussi la faculté de traverser des périodes difficiles, maintenir un équilibre émotionnel ou encore pouvoir et savoir se fixer des objectifs constructifs.

Tandis que l’on cherche à prévenir des troubles psychiatriques et des complications des détresses psychologiques réactionnelles, on cherche à développer la santé mentale positive !

Promouvoir la santé mentale positive est une démarche essentielle pour renforcer les ressources individuelles et collectives. Renforcer votre politique de prévention de santé mentale, c’est s’assurer de l’absence de problème mais aussi favoriser un fonctionnement optimal des individus dans leur environnement personnel, professionnel et communautaire.

La prévention de santé mentale au travail

La prévention en santé mentale dans le milieu professionnel est essentielle. Elle garantit un environnement de travail sain, épanouissant et productif. Elle permet notamment de prévenir des risques psychosociaux.

Les risques psychosociaux sont des situations aux conséquences néfastes pour l’entreprise et les collaborateurs. Le stress, l’anxiété, le burn-out ou encore la dépression sont autant de problèmes qui peuvent survenir en raison : 

  • des conditions de travail inadaptées,
  • des charges de travail excessives,
  • du manque de soutien de la part des collègues, de l’entourage et de la hiérarchie.

En investissant dans la prévention, les entreprises peuvent réduire l’absentéisme, limiter le turnover, et améliorer la satisfaction des employés. La prévention s’opère par des actions concrètes telles que : 

La santé mentale des salariés est étroitement liée à leur performance et à leur engagement. Un employé épanoui mentalement sera plus créatif, plus motivé et mieux à même de relever les défis professionnels. Ainsi, prévenir les problèmes de santé mentale n’est pas seulement une obligation morale, mais aussi un investissement stratégique pour les organisations.

Exemple de santé mentale positive : femme souriant à pleine dent dans un bureau lumineux.

Quelles actions mettre en place pour faire de la prévention sur la santé mentale au travail ?

Sensibiliser et former les collaborateurs

La première étape pour prévenir les risques liés à la santé mentale en milieu professionnel consiste à sensibiliser et à éduquer les collaborateurs. Ces formations concernent l’ensemble du personnel, des équipes opérationnelles aux cadres dirigeants. Organiser des ateliers, conférences ou séminaires sur des thèmes comme le stress, l’épuisement professionnel ou la gestion des émotions peut aider à lever les tabous et à encourager les discussions sur le bien-être mental.

La formation des managers est particulièrement cruciale : ils doivent être équipés pour repérer les signes précurseurs de détresse chez leurs équipes, adopter une posture bienveillante et orienter les collaborateurs vers les ressources adaptées.

Instaurer une culture d’ouverture et de soutien

Une entreprise qui valorise une culture d’ouverture sur la santé mentale est plus à même de prévenir les risques psychosociaux. Cela passe par la promotion d’un environnement où les collaborateurs se sentent en sécurité pour exprimer leurs difficultés sans crainte de stigmatisation ou de discrimination. Mettre en place des groupes de parole, un réseau de soutien entre pairs ou encore des campagnes de communication internes sur la santé mentale peut jouer un rôle clé pour normaliser ces sujets et favoriser un climat de confiance.

Proposer des ressources et un accompagnement professionnel

Pour aller plus loin, il est essentiel de mettre à disposition des ressources concrètes pour accompagner les collaborateurs dans leur démarche de soin. Cela peut inclure la mise en place d’une cellule d’écoute psychologique, d’une ligne d’assistance dédiée ou encore d’un partenariat avec des psychologues et des thérapeutes externes. Ces dispositifs permettent aux salariés d’avoir un accès rapide et confidentiel à un soutien professionnel en cas de besoin.

Favoriser un équilibre [vie professionnelle/vie personnelle]

La santé mentale passe également par un bon équilibre entre la vie professionnelle et personnelle. Les entreprises peuvent agir en ajustant les charges de travail, en encourageant la flexibilité des horaires ou encore en facilitant le télétravail pour réduire les contraintes. En instaurant des politiques favorisant la déconnexion (comme des limitations sur l’envoi de mails en dehors des heures de bureau), les employeurs permettent aux collaborateurs de mieux se ressourcer et d’éviter l’épuisement.

Évaluer et ajuster les pratiques en continu

Enfin, la prévention en santé mentale nécessite une évaluation régulière des pratiques mises en place. Réaliser des enquêtes de satisfaction, mesurer les indicateurs liés aux risques psychosociaux (taux d’absentéisme, turnover, etc.) et impliquer les salariés dans la co-construction des initiatives permet d’adapter les actions aux besoins réels. Un engagement continu garantit des progrès concrets et durables pour le bien-être collectif.

La santé mentale dépasse le cadre de l’entreprise. Les lieux de sociabilisation sont particulièrement concernés par les sujets de prévention. Les risques liées à la santé mentale s’y expriment, s’y cristallisent, s’y exacerbent. C’est aussi en ces lieux qu’ils sont les plus identifiables.

Au delà de l’entreprise, cet article traite plus bas du cas de l’école mais également des organisations que vous pouvez contacter en cas de besoin d’accompagnement et de conseil concernant la santé mentale.

La prévention de santé mentale à l’école

La santé mentale des individus concernent l’ensemble de la population. Elle prend une dimension particulière sur les individus fragiles et sur les individus, jeunes, en construction. De ce fait, l’école est un lieu clé pour la prévention en santé mentale.

L’école façonne les repères et les bases du bien-être émotionnel et social des individus. Les enfants et les adolescents sont particulièrement vulnérables aux problèmes de santé mentale, notamment à cause des pressions liées aux résultats scolaires, des relations sociales complexes ou des problèmes familiaux. D’après l’OMS, 15% des jeunes âgés de 10 à 19 ans souffres d’un trouble mental.

Sans intervention précoce, ces difficultés peuvent avoir des conséquences graves sur leur développement, leur réussite scolaire et leur avenir. Mettre en place des actions de prévention au sein des établissements scolaires permet de solutionner le problème à la racine. Parmi ces mesures, nous pouvons citer : 

  • des programmes d’éducation émotionnelle et sociale, 
  • des campagnes de sensibilisation sur les troubles mentaux
  • un accès à des professionnels, conseils et psychologues scolaires.

Ces mesures permettent de détecter les problèmes plus tôt, de renforcer la résilience des élèves et de leur apprendre à mieux gérer leurs émotions et leur stress.

Une école sensibilisée à la santé mentale contribue à réduire les stigmates et à créer un climat scolaire plus inclusif. Les enseignants et le personnel scolaire jouent un rôle fondamental dans l’accompagnement des élèves. La formation sur les sujets de santé mentale des enfants est primordiale, notamment pour reconnaître les signes chez les individus concernés. En favorisant le bien-être mental à l’école, on contribue à construire une génération plus résiliente, confiante et prête à relever les défis de demain.

Quelles actions mettre en place pour faire de la prévention sur la santé mentale à l’école ?

ballon gonflable jaune tête smiley souriant

Sensibilisation des élèves

La prévention commence par l’éducation. Les écoles doivent intégrer des programmes d’apprentissage sur les émotions et la santé mentale dans le cadre de leurs activités pédagogiques. Ces programmes peuvent inclure des ateliers ou des cours spécifiques où les élèves apprennent à identifier et comprendre leurs émotions, à gérer le stress et à résoudre les conflits de manière saine. Des activités interactives, comme des jeux de rôle ou des discussions de groupe, permettent de rendre ces enseignements concrets et engageants. Par ailleurs, aborder des sujets tels que l’importance de demander de l’aide ou de soutenir un ami en difficulté contribue à briser les tabous et à renforcer une culture de solidarité.

La formation du personnel scolaire

Les enseignants et le personnel éducatif doivent être équipés pour reconnaître les signes de détresse psychologique chez les élèves et savoir comment intervenir efficacement. Une formation spécialisée peut inclure des modules sur la reconnaissance des troubles courants (comme l’anxiété ou la dépression), sur les techniques d’écoute active, ainsi que sur les stratégies d’intervention adaptées. Ces connaissances leur permettent d’agir rapidement lorsqu’un élève montre des signes de mal-être. De plus, en comprenant mieux les défis liés à la santé mentale, le personnel scolaire peut également créer un climat plus inclusif et bienveillant dans les salles de classe.

La création d’espaces de dialogue

Les élèves doivent avoir accès à des espaces sûrs où ils peuvent parler librement de leurs préoccupations. Cela peut se traduire par des consultations régulières avec des psychologues scolaires, la mise en place de groupes de parole animés par des professionnels, ou des moments dédiés aux échanges en classe, encadrés par des enseignants. Ces espaces permettent aux élèves de s’exprimer sans crainte de jugement et de trouver un soutien émotionnel. Ils favorisent également la détection précoce des situations préoccupantes, notamment celles qui nécessitent un accompagnement plus approfondi.

La prévention du harcèlement scolaire

Le harcèlement est une des principales causes de troubles émotionnels chez les élèves. Pour y remédier, il est essentiel de mettre en place des actions ciblées, comme des programmes de sensibilisation au respect et à l’empathie, des séances de médiation entre pairs, et des dispositifs pour signaler le harcèlement de manière confidentielle. Les élèves doivent être encouragés à intervenir en tant que témoins actifs pour protéger leurs camarades. Ces actions contribuent à créer un environnement scolaire où chaque élève se sent en sécurité, reconnu et valorisé.

L’engagement des familles et de la communauté

Les parents jouent un rôle clé dans la prévention de la santé mentale des enfants. Les écoles peuvent organiser des conférences ou des ateliers pour les informer sur les signes de détresse psychologique, leur apprendre à communiquer efficacement avec leurs enfants, et leur fournir des outils pour les soutenir au quotidien. En parallèle, impliquer la communauté locale, comme des associations spécialisées en santé mentale ou des professionnels extérieurs, permet d’enrichir les ressources disponibles et de renforcer l’impact des initiatives. Ce partenariat école-famille-communauté crée un réseau de soutien essentiel pour les élèves.

Les numéros à connaître pour la santé mentale

Le 3114 – Ligne nationale de prévention du suicide

Le 3114 est un numéro national de prévention du suicide, mis en place pour offrir une assistance immédiate à toute personne en situation de détresse suicidaire ou à ses proches. Il est joignable 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, avec des professionnels de santé formés qui répondent de manière bienveillante et adaptée. Que vous ressentiez une profonde tristesse, des pensées suicidaires ou simplement le besoin d’être écouté, cette ligne est une ressource précieuse pour sortir de l’isolement et trouver un accompagnement adapté.

SOS Amitié – 09 72 39 40 50

SOS Amitié est une ligne d’écoute anonyme et confidentielle qui accueille toutes les formes de détresse psychologique. Que vous souffriez d’anxiété, de solitude ou de troubles dépressifs, les bénévoles de cette organisation sont formés pour écouter activement, sans jugement, et pour offrir un espace où vous pouvez vous exprimer librement. Ce service est souvent le premier recours pour de nombreuses personnes qui hésitent à consulter un professionnel de santé.

Le 15 ou le SAMU – En cas d’urgence vitale

En cas de détresse mentale aiguë accompagnée de symptômes physiques inquiétants (par exemple, une tentative de suicide, une crise d’angoisse sévère ou des comportements dangereux), il est important d’appeler immédiatement le 15. Cette ligne médicale d’urgence permet d’accéder rapidement à des soins adaptés, y compris un transfert à l’hôpital si nécessaire. Ne sous-estimez jamais la gravité d’une urgence psychologique.

Fil Santé Jeunes – 0 800 235 236

Spécifiquement conçu pour les jeunes de 12 à 25 ans, Fil Santé Jeunes offre une écoute anonyme et gratuite, à travers une ligne téléphonique et un chat en ligne. C’est une ressource précieuse pour les adolescents et les jeunes adultes qui souhaitent parler de leurs doutes, de leurs relations, de leurs troubles anxieux ou encore de leur mal-être, dans un cadre bienveillant et adapté à leur âge.

Numéros d’écoute pour les proches aidants

Les proches de personnes atteintes de troubles psychologiques jouent un rôle central mais sont souvent eux-mêmes en détresse. Il existe des lignes d’écoute spécifiques, telles que Aloïs – 0 800 47 47 88 pour les proches des personnes atteintes de troubles cognitifs comme la maladie d’Alzheimer, ou encore les lignes régionales pour les aidants familiaux. Ces services permettent de parler de leur épuisement émotionnel et de trouver des conseils pour mieux accompagner leur proche tout en prenant soin d’eux-mêmes.

Violences, harcèlement et santé mentale – 3919 et 3020

La santé mentale est souvent impactée par des violences, qu’elles soient conjugales, sexuelles ou liées au harcèlement scolaire ou professionnel. Pour les victimes de violences conjugales, le 3919 (Violences Femmes Info) est une ligne d’écoute essentielle. Pour les situations de harcèlement, le 3020 peut être contacté pour une assistance et des conseils concrets. Ces numéros ne sont pas uniquement des lignes d’écoute, mais des passerelles vers des dispositifs de prise en charge adaptés.

Ces lignes permettent de briser le silence et l’isolement qui accompagnent souvent les troubles mentaux. Elles représentent une première étape vers un processus de soin ou de guérison. Leur gratuité, leur accessibilité et leur confidentialité les rendent particulièrement utiles, surtout dans les moments où il est difficile d’ouvrir la porte d’un cabinet médical ou de partager ses souffrances avec ses proches.

N’oubliez pas que ces services ne remplacent pas une prise en charge thérapeutique ou médicale, mais ils peuvent être une bouée de sauvetage, un tremplin vers un accompagnement de qualité. Si vous ou un proche êtes concerné, n’hésitez pas à utiliser ces ressources précieuses.

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